06 60 22 22 39

Accueil / Les artistes

Les artistes

Julie Mathevet (Soprano)

Récemment qualifiée de “lyrical miracle” par la presse américaine pour sa création du premier rôle du Prisoner of the State (David Lang) pour l’orchestre Philharmonique de New York dirigé par Jaap Van Zweden, Julie Mathevet mène aujourd’hui une carrière pleine de projets riches et contrastés…

Romie Estèves (mezzo)

Diplômée d’une licence de musicologie à l’université de Michel de Montaigne de Bordeaux, Romie Estèves a étudié le chant lyrique et la danse contemporaine au conservatoire de Bordeaux. En 2010 elle remporte le 1er prix du concours international de chant lyrique de Bordeaux Medoc. Elle fait ses début dans le rôle titre de « Lisa », création du compositeur et metteur en scène Camille Rocailleux…

Lionel Sarrazin (basse)

Après avoir obtenu ses prix au conservatoire de Bordeaux, Lionel Sarrazin entre à l’école de l’Opéra de Paris. Jacques Bourgeois lui offre d’enregistrer pour Erato et FR 3 le rôle de Balthazar dans « La Favorite » de Donizetti.  Il est ensuite invité à Moscou (salle Tchaïkovski) et à Caracas (Grand Opéra) pour interpréter Arkel…

Aude Extrémo (mezzo)

Elue “Révélation classique” de l’Adami, Aude Extrémo est aujourd’hui une des principales interprètes du répertoire français. Elle débute son apprentissage vocal au CNR de Bordeaux, puis intègre pour 2 ans la prestigieuse structure de l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Paris…

Portrait de Guillaume Vallot

Guillaume vallot (Contrebasse)

Contrebassiste, bassiste, Guillaume est avant tout un passionné des dimensions rythmiques de l’art sonore, jusqu’à en abandonner ses chères cordes pour se frotter aux percussions ou esquisser quelques pas de danses africaines. Curieux des spécificités de nombreux styles musicaux, dont il mâtine amoureusement ses lignes de basse, il était tout naturel pour Guillaume de venir se mélanger au cocktail musical détonant de Libre Cour!

irina Stopina (soprano)

Débutant sur scène avec des rôles de mezzo-soprano, sa voix évolue un temps vers le soprano lyrique. Sa voix aujourd’hui la destine à chanter les rôles de soprano lyrico-spinto voire les jeunes dramatiques. Irina est également diplômée d’une licence III de mathématiques fondamentales.On a pu entendre récemment Irina en Princesse étrangère dans Rusalka de Dvorak à l’opéra de Metz, sous la direction de Kaspar Zendler, en concert dans la Deuxième symphonie de Malher sous la direction de Julien Leroy avec les ondes plurielles et également dans de la musique contemporaine, Recueil de chants élégiaques de Gilles Raynal avec l’orchestre symphonique des Dômes dirigé par Kanako Obe. La saison dernière, Irina a abordé pour la première fois le rôle de Violetta dans La Traviata de Verdi au festival L’Eure en scène sous la direction de Romain Dumas ainsi que le rôle de Mimi dans La Bohème au festival Lumière à Aix en Provence. Elle interprète également La Baronessa dans Il Cappello di paglia di Firenze de Nino Rota à l’opéra de Metz sous la direction de J. Mercier et reprend La Comtesse dans Les noces de Figaro sous la baguette de M. Cousteau à Vienne.  On a pu l’entendre à plusieurs reprises dans Micaela dans Carmen sous la direction de Romain Dumas et d’Alexis Duffaure, Métella dans La vie parisienne à l’opéra de Metz et à l’opéra de Massy, Donna Anna dans Don Giovanni de Mozart avec l’orchestre de l’État d’Arad ainsi que La Comtesse dans Les noces de Figaro de Mozart accompagné par l’Orchestre Philharmonique d’Etat de Timisoara, la deuxième dame dans La flûte enchantée de Mozart, Didon dans Didon et Énée de Purcell sous la direction de M. Trauttmann ou encore Ottavia dans le Couronnement de Poppée de Monteverdi. Parmi ses projets, citons notamment la Princesse étrangère ( Rusalka ) aux opéras d’Avignon, Bordeaux et Reims, Leonora ( Il Trovatore ) à l’opéra de Québec, et le rôle de titre dans Tosca au festival l’Eure en scène. 

Camille Rocailleux (percussions...)

Après un prestigieux cursus au Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, il intègre d’abord de grands orchestres, puis s’affirme très vite comme un artiste pluridisciplinaire. Il s’intéresse à la danse, fonde et co-signe les spectacles de la compagnie ARCOSM de 2001 à 2016 où elle est nommée compagnie à rayonnement national par le ministère de la Culture (plus de 2500 représentations en France et à l’international)…

Samuel Bricault (flûte traversière)

Samuel commence la musique par le flageolet, avec lequel il joue des danses populaires ariégeoises. Depuis il s’est formé à la flûte traversière classique, notamment au CNSM de Paris dans la classe de Sophie Cherrier, diplômé en 2015 mention Très Bien à l’unanimité avec les félicitations du jury…

Françoise Larrat (piano)

Françoise Larrat est professeur d’accompagnement au CRR de Bordeaux, pianiste à l’ONBA et depuis sa création, au sein de l’Ensemble Musique Nouvelle. Invitée par diverses formations de l’ONBA, elle interprète, entre autres, le Sextuor de Poulenc et les Quintettes pour piano et vents de Mozart et Beethoven avec l’Ensemble à Vent de Bordeaux-Aquitaine, la Sonate pour deux pianos et percussions de Bartók avec l’Ensemble de Percussions Bordeaux Aquitaine ainsi que le Rhapsody in Blue avec l’ONBA dirigé par Yutaka Sado…

Marianne Muglioni (violoncelle) fondatrice des caprices de marianne

Élève de Jean Marie Gamard puis d’Yvan Chiffoleau, Marianne Muglioni obtient ses premiers prix, mention très bien, de violoncelle et de musique de chambre au Conservatoire National de Musique et de Danse de Lyon, puis se perfectionne auprès de Lluis Claret à Barcelone. Au festival d’Aspen (Colorado) puis dans divers  orchestres français (Orchestre Philharmonique de Radio France, Orchestre National de l’Opéra de Paris, Orchestre National de Bordeaux Aquitaine) elle joue sous la direction de chefs prestigieux (Youri Temirkanov, James Levine, James Conlon, Philippe Jordan, Myun wun chung Esa-Pekka Salonen). 

Bianca Chillemi (piano)

Bianca Chillemi se forme actuellement à la direction d’orchestre à Mons en Belgique auprès de Nicolas Krüger. Son vif intérêt pour la musique contemporaine l’amène à être sélectionnée par le festival d’Aix-en-Provence pour l’académie Voix et Création. En collaboration avec l’orchestre Les Siècles, elle est cheffe de chant sur l’opéra I.D., une création du compositeur Arnaud Petit; ou encore à l’Opéra de Lille et à l’Opéra de Rennes pour la création de Trois Contes, opéra de Gérard Pesson mis en scène par David Lescot. 

Julien Estèves (batterie)

Batteur depuis 1992, diplômé de la M.A.I (Music Academy International) à Nancy en 2001 et de l’école de batterie « Dante Agostini » à Bordeaux en 2011, il s’épanouit en polyinstrumentiste autodidacte. La mandoline, le bouzouki, le Banjo et ses tambours prospèrent autant en milieu blues, africain, rock que chanson, ou musique traditionnelle. Il façonne ainsi sa signature musicale en mélangeant ses terrains de jeux pour en récolter les saveurs illimitées de son ethno-system…

 

DIMELOTU (son cubain)

Le Duo Dimelotù s’est formé en 2020 au conservatoire de Bordeaux. Il est né de la rencontre entre les influences musicales chiliennes et françaises. Marcos Alvarez et Margaux Vannicatte ont souhaité s’affranchir de leur formation classique pour créer un duo vibrant, chaleureux et dansant qui mêle reprises et compositions. Dimelotù vous invite à partager les sonorités du folklore d’amérique
latine… Après avoir été bercé par une Zamba, vous nous rejoindrez sur les rythmes balancés d’une Cumbia, d’une Cueca ou d’un Son cubain.

Marcos Alva (Baryton)

En 2014, il est admis au conservatoire de Bordeaux dans la classe de Maryse Castets. Il poursuit dans ce cadre la pratique de la danse et du théâtre. Le cursus vocal qu’il intègre lui ouvre la porte de la scène lyrique bordelaise. Il chante dans ce cadre « Le Messie » de Haendel dirigé par Marc Minkowski à l’auditorium de Bordeaux en octobre 2017. Plus récemment, en Mai 2022 il a chanté dans les choeurs du « Magnificat » de Bach sous la direction de Raphaël Pichon. Il se produit aussi avec l’Orchestre Symphonique de Gironde comme soliste dans le Requiem de Fauré.

Annie Sück-Gao (soprano)

Si je devais décrire ma voix, je dirais que c’est un compagnon de route capricieux mais chaleureux. On apprend tous les jours de notre voix, et même si l’on affine de plus en plus notre maîtrise au fil du temps et de la pratique, on est finalement qu’au début du chemin et de sa propre découverte. On ne s’arrête jamais ! Si je devais la comparer à une période de vie, je dirais que ma voix est dans l’adolescence. Des couleurs, des caractères se mettent en place, mais l’on n’est pas encore entièrement (r)assuré, la confiance est changeante mais des moments de grâce existent. J’étais pianiste de formation, et de fil en aiguille, enfant j’ai intégré une maîtrise. Ces années m’ont permis de voyager, d’être soliste, de faire des chœurs de productions d’opéra ; et c’est pendant une Carmen que je me suis dit que je voulais faire ça de mon métier. Quoi de mieux que faire du théâtre et chanter en même temps? Pour moi c’était l’art parfait, et je voulais en faire partie ! Je ne sais pas encore à quoi ressemblera ma carrière, mais je sais que j’aime la transdisciplinarité, la création, et que j’aurai sûrement envie de monter un spectacle avec danseurs, musiciens, plasticiens ou qui sais-je !

 

Margaux Vannicatte (mezzo)

J’ai découvert l’art lyrique relativement tard. À 18 ans, je n’envisageais pas le chant comme autre chose qu’une passion à côté de mes études. Cela a duré jusqu’à ce que j’obtienne mon master et que la question de l’insertion professionnelle se pose. J’ai alors réalisé que ne souhaitais pas travailler là où mes études à l’école de Sciences Politiques me menaient, et que je souhaitais que le chant prenne finalement toute la place. J’aimerais réussir à vivre de mon métier de chanteuse lyrique et populaire. Mon souhait serait avant tout de pouvoir être libre de choisir ce que je souhaite chanter où et comment. J’ai envie d’amener l’opéra qu’on connaît sur de petites scènes plus accessibles à tous. Je trouve très dommage que cet art soit réservé à une élite et qu’il ne soit pas davantage démocratisé. Le chant lyrique est selon moi une formidable manière de se découvrir et de s’exprimer et j’aimerais transmettre ça au plus grand nombre. Les scènes de musiques actuelles que nous faisons avec mon duo « Dimelotu » me donnent l’amour des petites scènes et de la proximité du public et je souhaite garder ça en lyrique également.

Kristel Barriaux (Soprano)

J’ai toujours aimé chanter. J’étais la copine à qui on demandait de chanter un truc dans la cour de récréation (Lara Fabian, Notre-Dame de Paris, etc). Pourtant ce n’est qu’en intégrant la chorale de mon lycée que j’ai découvert la musique classique. Je n’avais encore jamais rien ressenti de pareil. Je n’ai réellement découvert ma voix qu’il y a quelques années. En effet, mes suraigus se sont révélés il y a à peine trois ans et m’ont permis de découvrir encore une autre facette de moi même. J’ai été surprise. Ce n’est pas la voix que j’attendais. J’aime les aigus, leur vibration. Je m’y sens bien. Cependant je rêve de profondeur, de gravité qu’on trouve la plupart du temps dans les rôles de soprano dramatique. J’ai toutefois récemment abordé le rôle de la Reine de la Nuit que je pensais hors de portée à mon niveau et y ai trouvé de réelles affinités. Je me suis trouvée dans cette vocalité et dans ce caractère que je compte bien continuer à explorer et à perfectionner.

Après tout, c’est ça aussi qui est beau dans le chant. On ne finit jamais de grandir.

Samuel rouveure (ténor)

J’ai découvert l’art lyrique au collège en cours de musique, en voyant Natalie Dessay chanter la Reine de la Nuit. Au cours de mes études d’ingénieur, à Valence puis à Bordeaux, ma passion pour le chant n’a fait que prendre de plus en plus d’ampleur. C’est donc en 2019 que j’entre au conservatoire de Bordeaux dans la classe de Maryse Castets. Alors que je pensais être baryton, j’y découvre ma voix de ténor lyrique et entame une transition que je poursuis encore aujourd’hui, par un apprentissage de la gestion du souffle et un assouplissement progressif de tout l’appareil vocal. J’y découvre également tout l’univers du répertoire lyrique, bien au-delà de l’opéra. Mon attrait  pour les grands rôles du répertoire romantique se confirme. Des rôles que j’espère un jour pouvoir aborder sereinement sur le plan vocal, lorsque mon travail actuel sur la souplesse, l’homogénéité et la stabilité de mon médium et de mes aigus aura abouti.

Camille Brault (clarinette)

Camille Brault, mezzo-soprano, s’épanouit autant à travers le répertoire opératique que dans le récital, la musique contemporaine ou encore le théâtre, qui tient une place très importante dans sa vie. Au cours de la saison 2023/2024, Camille a fait ses débuts en Zerlina (Don Giovanni, Mozart) et en Proserpine (La Descente d’Orphée aux Enfers, Charpentier). Elle crée également Elo !, nouveau spectacle de la Compagnie Ever, collabore avec Les Frivolités parisiennes pour Les Mariés de la tour Eiffel (groupe des Six/Cocteau) et revient à l’Auditorium-Orchestre national de Lyon pour un second récital de lieder avec le pianiste Pierre Thibout. Au printemps 2024, elle sera en tournée avec l’orchestre de l’Opéra de Reims pour Tout est pour vous !, un récital autour de Maurice Yvain. Sur scène, Camille a interprété Dorabella (Così fan tutte), les rôles-titres de La Cenerentola et de L’Enfant et les Sortilèges, Sesto (La Clémence de Titus), Métella (La Vie parisienne), Hermia (Le Songe d’une nuit d’été)… Elle a étudié à la Manhattan School of Music de New York et à l’Université de Montréal, dont elle détient un master en interprétation. Elle s’est perfectionnée au Pôle lyrique d’excellence auprès de Cécile de Boever.

Pierre-Emmanuel Roubet (ténor)

En 2022-23 et cette saison, le Théâtre du Capitole de Toulouse lui confie plusieurs rôles : Premier homme d’armes et premier prêtre (La Flûte Enchantée), Comte Almaviva dans l’adaptation du barbier «Le Bus Figaro», Don Curzio (Les Noces de Figaro), Gastone (La Traviata), L’apparition du jeune homme (La Femme sans ombre).

Il est aussi Ferrando (Cosi fan tutte) avec Opéra éclaté, Don José dans une version réduite de Carmen « Un piano dans la montagne » en tournée avec la Compagnie Sandrine Anglade. Au concert, il est Delil (Giovanna d’Arco) à l’Opéra de Marseille et donne de nombreux concerts dans les festivals.

Philippe Estèphe (baryton)

 

Issu d’une famille de musiciens, Philippe Estèphe se forme aux Chants de Garonne et est invité par l’Orchestre Philharmonique d’Aquitaine à interpréter les rôles de de Papageno (Die Zauberflöte), Escamillo (Carmen), Albert (Werther) et le rôle-titre de Don Giovanni.

Il chante également Guglielmo (Cosi fan tutte) à l’Opéra de Limoges, le Comte (Chérubin de Massenet) à l’Opéra de Montpellier, Taddeo (L’Italiana in Algeri) à l’Opéra de Saint-Etienne, Dandini (Cenerentola) à l’Opéra de Tours et à l’Opéra de Cologne.

Salomé Mokdad (harpe)

De tous les instruments, la harpe est pour moi le plus élémental. Dans l’Antiquité, elle possédait une valeur céleste, son socle représentant la terre, sa console le ciel et ses cordes formant le lien qui les unit. Sa résonance ininterrompue, se mêlant au silence qui lui succède, s’éparpille tels des chuchotements angéliques qui enchantent sa musique. La beauté de la harpe a toujours touché l’âme de ses spectateurs et suscité l’admiration de ceux qui n’en imaginaient pas l’existence. C’est pour cette raison que la harpe mérite selon moi d’être révélée au grand jour car si le monde de la musique connaît bien son existence, la majorité en ignore tout. Et lorsqu’elle la découvre, une barrière sociale semble la paralyser dans une appartenance bourgeoise qui n’est plus la sienne. Rendre la harpe populaire, et par son utilisation prôner la profondeur de la musique et de sa sensibilité, est pour moi un objectif qui donne tout son sens à mon activité musicale et me fait vivre.

Alain Ruiz (Accordéon)

à venir

Mickaël Geyre (clavier, accordéon)

Issu d’une famille de cinq générations de musiciens, touche-à-tout, compositeur, arrangeur et multi-instrumentiste, Michael Geyre débute le piano classique à l’âge de 5 ans. Il en fait son métier dès l’âge de 16 ans. Sa curiosité le mènera à étudier sans cesse de nouveaux styles musicaux, ainsi qu’à découvrir la pratique d’autres instruments, comme l’accordéon, les synthétiseurs, mais aussi plus atypiques comme l’ondioline, les ondes martenot, ou le haken continuum. Extrêmement polyvalent, il a tourné avec de nombreuses formations

(François Corneloup, Elektro tayfa, Deep Forest, Balkan Kartet, Forro da Lua…), touchant aux styles musicaux les plus variés (musiques du monde, jazz, rock, électro, chanson …). En chanson, il a accompagné Allain Leprest (tournée 2003-2004), Marc Delmas, Zed Van Traumat, Julie et le vélo qui pleure, Bordelune, Le Barber Shop Quartet, Pierre Perret, Rue de la Muette. Il a participé à plus de 50 CDs en tant que musicien, compositeur, arrangeur

ou consultant technique (rééditions de Hook, Danse avec les loups, Le Peuple Etincelle, XII Alfonso, Yvette Horner, Ascenseur pour l’échafaud…) et a conçu de nombreux habillages sonores pour des films institutionnels. Plus récemment, il a réalisé les musiques du jeu vidéo Wonderboy-the dragon’s trap (Sega/Westone) ainsi que des musiques pour la série « Bitmuch» (France 4).

Michael est également sound designer et consultant pour les constructeurs de synthétiseurs Korg et Arturia, et a fondé sa marque (A2D Sounds) qui est sous licence chez Korg.

Camille Humeau (clarinette)

Issu d’une famille d’artistes depuis trois générations, opéra, music-hall et cinéma, Camille commence sa formation de clarinettiste en 1992. Il développe ses premières activités artistiques et ses expériences de plateau dans la foulée via le monde de l’opéra et de l’opéra-comique.

Ce fils de la Gascogne a du sang Catalan dans les veines, et les cultures angevine et ariégeoise bien chevillées à l’âme. Il sillonne par conviction et soif d’apprendre tous les territoires: de New-York au Moyen-Orient, de l’Afrique du nord à la Nouvelle Orléans, contrées où il apprend, côtoie, et collabore avec les grands noms de la musique Klezmer et du jazz comme Steve Lacy, Dr Michaël White, ou David Krakauer qui deviendra un ami.

Camille interprète avec autant de bonheur le répertoire classique que les musiques de tradition et d’improvisation. De l’Orchestre de la Suisse Romande aux Folies Bergères, du Théâtre Marigny à Paris au Printemps du Rire de Toulouse, de la comédie musicale Cabaret aux frasques de L’Artichaut Klezmer Orchestra ou de son seul-en-scène théâtral Feuilles d’Artichaut, Camille signe toujours d’une belle présence des prestations engagées, originales, exigeantes, entraînant toujours les publics vers la joie et l’enthousiasme. Il a aussi, entre autres, travaillé avec Francis Cabrel et Magyd Cherfi.

Enfant de la balle dans le spectacle vivant, il connaît les rouages du métier et se consacre depuis quelques années à la production de spectacles dans des spécialités différenciées: concert baroque, cabaret ou théâtre musical.

Si Camille a signé à New York en 2012 en tant qu’artiste klezmer sur le prestigieux label Tzadik de John Zorn, ses plus grands défis sont l’action de terrain et le contact avec les populations. Si nul n’est prophète en son pays, Camille travaille, construit, témoigne, et parle de beauté à tous.

Nos partenaires